· 

Une des villas conçues par l’architecte écossais Alistair Macbeth. Leur commercialisation démarre. Elles sont proposées entre Rs 100 et Rs 250 millions

Et si l’avenir du luxe était dans l’hyper luxe? C’est le pari d’Alteo Properties, la société qui développe le domaine d’Anahita, sur la côte est de l’île. C’est là, entre lagon et montagne, que sortiront bientôt de terre 20 villas de prestige. Rien de très nouveau dans cet écrin ? Si, le standing et le prix, qui atteignent des sommets jamais égalés. Minimum à débourser : Rs 100 millions. Six fois plus pour les villas les plus cotées. À ce prix-là, «on ne parle plus de résidence haut de gamme mais de très haute couture», pose Hugues Jannet, Sales and Marketing Director.

La crème de la crème, l’ultra-exclusif, c’est ce que sa clientèle recherche, qu’elle soit française, britannique, suisse ou, plus récemment, émiratie et sud-africaine. Des  super-riches à l’ostentation débridée ? Tout le contraire : «L’emploi de matériaux sobres et authentiques est privilégié, comme la pierre de lave. On est loin des clichés bling-bling. Ce qui compte, c’est d’avoir un bien personnalisé, conçu rien que pour soi.» Du sur-mesure, telle est donc la promesse des 20 villas Macbeth et Wilmotte, du nom de leurs architectes. Le premier, Écossais, en a dessiné 12 face au golf. Le second, Français, en signe huit, dont sept pieds dans l’eau, face à l’île aux Cerfs. «Alistair Macbeth est l’architecte d’origine d’Anahita. Ses villas dépasseront 500 m² et les acquéreurs auront la possibilité de les personnaliser», indique Hugues Jannet. En choisissant de s’offrir, par exemple, une salle de cinéma ou de sport.